On pourrait vous dire que le SPM : c’est quand on est capable de pleurer juste parce qu’on vient de faire tomber sa fourchette, quand on a soudainement envie de s’en prendre à toutes les personnes qui nous adressent la parole ou encore quand on est tellement déprimée qu’on commence à remettre toute sa vie en question… 🤯

Si là-dedans, il y a du vrai, on a quand même voulu vous préparer un article un peu plus précis et surtout utile !

Car oui, le SPM, c’est un peu ce “nouveau mot” qu’on entend partout en ce moment. Pourtant, loin d’être un mot tendance ou émergent, il fait référence aux manifestations physiques et émotionnelles concrètes, causées par les fluctuations hormonales d’un moment précis du cycle féminin. ☝️

Bref, ce n’est ni une invention de la Gen Z, ni une nouvelle lubie. C’est un syndrome que l’on n’a longtemps pas reconnu, et que l’on ne nommait tout simplement pas jusqu’à il y a encore quelques années. 🤫

Et puisqu’il n’est jamais trop tard pour en apprendre davantage sur le fonctionnement du corps des femmes, on vous explique tout sur le SPM. 

Chez Puissante, on a à cœur de lever les tabous qui collent encore à ce syndrome cyclique, de partager des ressources fiables, et surtout, de vous aider à mieux comprendre ce que votre corps vous dit.
Alors, « SPM c’est quoi » ? On vous dit tout, ci-dessous. 

 

Le SPM, c’est quoi ? Définition simple et sans tabou

Le syndrome prémenstruel (ou SPM) regroupe un ensemble de symptômes physiques et émotionnels qui apparaissent quelques jours avant les règles, en général entre 7 et 10 jours avant le début du cycle menstruel. ⏱️

Il est causé par les variations hormonales – principalement la baisse brutale des œstrogènes et de la progestérone – dans la phase lutéale du cycle menstruel.

Ce n’est ni un caprice, ni un mot fourre-tout, ni une excuse. C’est un déséquilibre hormonal temporaire (merci les œstrogènes et la progestérone) qui peut faire vriller le mental, le corps, ou parfois les deux - chez des millions de femmes tous les mois.

"Le SPM est une réalité hormonale, cyclique, multifactorielle, qui impacte profondément la vie des femmes. Il ne peut être nié ni réduit à un caprice." — Dr. Odile Bagot, gynécologue, autrice du blog MamGyneco. 

 

Quels sont les symptômes du SPM ?

“Le SPM est une réalité biologique, dont les symptômes peuvent varier d’un cycle à l’autre. Ce n’est ni rare, ni anodin.” — Haute Autorité de Santé (HAS)

Si les symptômes du SPM varient d’un cycle à l’autre, ils varient aussi d’une femme à l’autre. Bref, en matière de SPM, nous ne sommes pas toutes égales ! ⚖️

Certaines femmes ne remarquent d’ailleurs pas de changements notables sur cette période. D’autres n’ont encore tout simplement jamais fait le lien entre la période de leur cycle menstruel et les différentes manifestations physiques ou mentales vécues. 🔗

Si les symptômes peuvent varier en intensité, ils suivent souvent la même tendance d’un mois à l’autre chez une même femme. Lorsqu’une femme vit un syndrome prémenstruel marqué, celui-ci revient généralement à chaque cycle, avec quelques nuances, mais sans surprise majeure. 

Vous n’avez jamais vraiment souffert d’un SPM fort ? Il n’y a pas de raison que cela change d’un mois sur l’autre. 🫶
Vous faites face à un SPM violent ? Il y a de fortes chances pour que cela vous arrive souvent. Mais spoiler alert : il existe des solutions 😘

Bref, les symptômes du SPM sont divers, variés et fluctuants, mais pourtant bien réels !  Il est donc grand temps de les considérer, et peut-être, d’agir dessus ?

Le SPM, c’est un peu la playlist aléatoire de votre corps. Vous ne savez jamais exactement quelle chanson va passer, mais vous reconnaissez généralement bien la vibe dont voici les principales notes :

Les symptômes physiques du syndrome prémenstruel 

  • douleurs dans le bas-ventre,

  • seins sensibles, tendus ou douloureux,

  • maux de tête,

  • fatigue intense,

  • troubles digestifs,

  • rétention d’eau,

  • prise de poids temporaire,

  • troubles du sommeil.

Symptômes émotionnels du syndrome prémenstruel 

  • irritabilité ou colère (parfois injustifiée, mais totalement légitime),

  • hypersensibilité,

  • baisse de moral, voire état dépressif temporaire,

  • anxiété, 

  • troubles de la concentration,

  • baisse de libido ou au contraire pulsions intenses.

Selon l’INSERM, 8 femmes sur 10 ressentiraient au moins un symptôme de SPM chaque mois.

“Le SPM peut impacter tous les aspects de la vie quotidienne. Il est essentiel d’en parler sans honte, et de le prendre en compte dans une approche globale de la santé féminine.” — Dr Élise Thiébaut, autrice de Ceci est mon sang


Le syndrome dysphorique prémenstruel 

On vous a parlé du SPM. Mais il existe une forme plus intense, plus invalidante, et surtout trop souvent méconnue : le trouble dysphorique prémenstruel (ou TDPM). 

C’est une version sévère du SPM qui touche environ 3 à 8 % des femmes réglées, selon le Journal of Clinical Psychiatry. Il ne s’agit plus seulement d’un inconfort, mais d’un trouble cyclique reconnu dans le DSM-5 (la bible des troubles psychiatriques) en tant que pathologie à part entière.

Concrètement ? Le TDPM, c’est quand les symptômes émotionnels sont si forts qu’ils perturbent profondément la vie quotidienne :

  • sautes d’humeur extrêmes,

  • crises de larmes soudaines,

  • colère

  • anxiété incontrôlable, stress

  • pensées sombres, voire dépressives,

  • isolement social, 

  • irritabilité sévère,

  • sommeil compliqué

  • baisse drastique de l’estime de soi.

Ces symptômes surviennent dans la phase lutéale du cycle (environ 1 à 2 semaines avant les règles) et disparaissent ensuite complètement avec l’arrivée des règles ou peu après.

“Le trouble dysphorique prémenstruel est une forme sévère du syndrome prémenstruel qui a un retentissement majeur sur la santé mentale. Il nécessite un accompagnement spécifique.” — Dr Nathalie Clément, psychiatre spécialisée en santé hormonale

Le diagnostic repose sur un suivi médical et un suivi précis du cycle pendant au moins deux mois (idéalement trois), via un journal des symptômes quotidien ou une appli de suivi (comme Clue ou Flo). 

Une fois identifié, le TDPM peut être traité grâce à :

  • une prise en charge psychothérapeutique,

  • un ajustement hormonal via traitement (contraception adaptée, agonistes de la GnRH…),

  • et dans certains cas, un traitement antidépresseur léger sur la phase prémenstruelle.

À retenir : Si vous avez l’impression de “perdre pied” tous les mois sans raison valable, si votre entourage vous dit que “vous changez du tout au tout”, si vous souffrez moralement de manière cyclique… ce n’est pas “dans votre tête”. Ce n’est pas banal. Et ce n’est surtout pas une fatalité.
Parlez-en à un·e professionnel·le de santé (gynécologue, sexologue, médecin traitant…). Des solutions existent. Et vous méritez d’aller mieux. ❤️

Dans tous les cas, ne vous auto-diagnostiquez pas et ne prenez pas d’initiatives médicales seules ! ⚠️

 

Vivre avec le SPM au quotidien

Le SPM, bien que parfois compliqué à vivre, ne doit pas devenir une fatalité. Il ne définit pas qui vous êtes, ni votre résistance ou votre capacité à “être une femme”. C’est un moment du cycle à prendre en compte, à apprivoiser, à adapter. 

Pendant longtemps, on a cru que c’était ça, être une femme : accepter tout un tas d’inconforts sans rien dire. Mais naturel ne veut pas dire acceptable ! Être une femme, c’est aussi apprendre à connaitre son corps et son fonctionnement pour identifier les leviers nécessaires à plus de confort et à un “mieux-vivre”. 🌈 

Exit la vision archaïque de la femme qui souffre en silence. Prendre en main vos inconforts ne sera jamais synonyme de faiblesse, c’est un geste de respect et d’amour envers vous-même ! 🫶

Chez Puissante, on vous recommande :

  • De tenir un journal de cycle pour repérer vos symptômes.

  • D’anticiper les jours “tendus” pour adapter vos rendez-vous ou activités.

  • De vous entourer de douceur, de sororité, et d’accessoires (oui, un vibro peut aussi aider à se reconnecter au plaisir ou à traverser la douleur).

“Accepter son rythme menstruel, c’est refuser le diktat d’une productivité constante. C’est faire alliance avec soi.” — Ovidie, dans “Libres !”


Comment soulager les symptômes du SPM ?

En plus de l’état d’esprit bienveillant et positif promut ci-dessus, on vous invite à explorer les pistes concrètes ci-dessous pour soulager les symptômes de votre SPM : 

Astuces lifestyle

  • Adoptez une alimentation anti-inflammatoire : plus de légumes verts, moins de sucre raffiné.

  • Buvez beaucoup d’eau pour limiter la rétention.

  • Faites du sport doux ou des activités zen (marche, yoga, natation).

“Une alimentation équilibrée et un mode de vie sain réduisent significativement les troubles du SPM.” — Étude du Journal of Women’s Health, 2019

Solutions naturelles 

  • Essayez le magnésium, la vitamine B6, ou les tisanes de framboisier.

  • Envisagez la prise de complément alimentaire : une option accessible, naturelle et respectueuse qui peut s’avérer très efficace. Chez Puissante, la cure SPM a été spécialement conçue pour lutter contre les symptômes causés par le syndrome prémenstruel chez la femme. C’est une cure naturelle, fabriquée en France et formulée par un labo expert de la phytothérapie depuis plus de 30 ans pour une utilisation sûre, fiable et efficace ! 🌱 🇫🇷

  • Plantes médicinales : alchémille, gattilier, passiflore, millepertuis (sous réserve d’un avis médical). 

 ⚠️ Avant d’envisager l’une des solutions ci-dessus, il est impératif de demander l’avis d’un.e professionnel.le de santé. Les plantes peuvent avoir de réels effets sur l’organisme ou interagir avec d’autres molécules présentes dans un éventuel traitement. N’hésitez-pas à vous rapprocher de votre médecin traitant pour en discuter avec lui (même en cas de prise d’antalgiques classiques). 


FAQ SPM 

Le SPM est-il un trouble hormonal ?

Pas exactement. C’est la réponse du corps à des variations hormonales naturelles, mais dont l’intensité peut créer une gêne réelle. Il peut être aggravé par d’autres facteurs (stress, alimentation, fatigue chronique…).

 

Le SPM peut-il évoluer avec l’âge ?

Oui. Il peut s’intensifier à certaines périodes (post-partum, périménopause) ou au contraire s’atténuer après 30 ans. Ceci n’est pas une science exacte. 


Peut-on en parler à un médecin ?

Oui, et vous devriez. Surtout si le SPM impacte vos relations, votre vie pro ou perso, ou votre bien-être mental. Un·e gynéco, une sage-femme ou une sexologue peut vous accompagner.


SPM ou début de grossesse : comment faire la différence ?

Quelque chose que l’on entend beaucoup chez Puissante, c’est que les débuts de grossesse peuvent parfois ressembler au SPM. 

Il est vrai que les signaux se ressemblent, mais voici un petit guide comparatif qui souligne quelques nuances. Ce n’est bien sûr pas un diagnostic, ni une science exacte, mais une aide à mieux comprendre ce que vous ressentez. En cas de doute, rien ne remplace un test ou l’avis d’un·e professionnel·le de santé.

Symptômes

SPM

Début de grossesse

Douleurs seins

Oui

Oui, souvent plus intenses

Fatigue

Oui

Oui, souvent persistante

Ballonnements

Oui

Oui

Sautes d’humeur, stress

Oui

Oui

Nausées matinales

Rare

Fréquentes dès 2-3 semaines de grossesse

Saignement léger ("spotting")

Rare

Possible (nidation)

 

💡 Si vous doutez, faites un test urinaire ou parlez-en à votre médecin. Et surtout, soyez patiente avec vous-même, dans tous les cas.


Pour résumer, le syndrome prémenstruel, c’est un cocktail hormonal qui chamboule le corps, l’humeur, le mental. C’est normal, mais ça ne veut pas dire que c’est agréable. S’informer, c’est déjà commencer à se libérer.

Chez Puissante, on milite pour un corps cyclique écouté, chéri, et respecté. On croit que chaque phase a sa puissance. Et que votre plaisir, vos limites, votre self-care comptent. 

Alors, si vous avez besoin d’un petit coup de pouce pour traverser le SPM avec plus de douceur, retrouvez notre gamme bien-être pensée pour les femmes et plus particulièrement nos compléments alimentaires dédiés au syndrome prémenstruel. 

Écoutez-vous et ne restez pas dans la douleur. 

Prenez soin de vous. ❤️

 

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