Si on devait faire une compil’ des trucs dont on se passerait bien et qui reviennent chaque mois sans invitation : le SPM arriverait probablement dans notre top 3. 😅
Et pour corser la chose, il peut prendre la forme de manifestations diverses et variées, physiques et/ou émotionnelles, en fonction des cycles ET des femmes.
Bref, un invité qu’on n'attend pas et dont on ne connaît jamais trop l’identité à l’avance. 👍
Le syndrome prémenstruel - ou SPM pour les intimes - est un ensemble de symptômes cycliques bien réels, pénibles pour certaines, invivables pour d’autres, ou presque invisibles pour quelques chanceuses, mais toujours liés aux fluctuations hormonales naturelles du cycle menstruel.
Pourtant, si le SPM sonne dernièrement un peu comme le nouveau mot à la mode, il n’est ni nouveau, ni… tendance ! ✨
Il désigne une phase du cycle accompagnée de trucs pas cool que les femmes subissent depuis la nuit des temps sans trop rechigner…
Chez Puissante, on aide les femmes à mieux se connaître, à mieux s’écouter, à mieux se comprendre, mais aussi à mieux vivre ! Qu’importe la semaine du mois, le bien-être ne devrait pas être un luxe.
Voici donc un petit florilège des symptômes du SPM : pour enfin poser des mots sur ce que vous vivez (peut-être sans le savoir) et surtout, pour ne plus jamais se dire que “c’est dans la tête” ! ✊
Les symptômes du SPM
Le SPM, ou syndrome prémenstruel, est un cocktail de symptômes physiques et émotionnels qui apparaissent généralement entre 7 et 10 jours avant les règles, dans ce qu’on appelle la phase lutéale du cycle. 🍹
Il est provoqué par une baisse brutale des hormones (notamment œstrogènes et progestérone), qui impacte le corps… mais aussi le mental.
“Le syndrome prémenstruel est une réaction hormonale cyclique qui touche plus de 75 % des femmes. Il mérite une reconnaissance sérieuse dans les parcours de santé.” — Dr Élise Thiébaut, autrice de Ceci est mon sang
Il est temps de rentrer dans le vif du sujet et de passer en revue les différents effets possibles et constatés, causés par le SPM. Ne prenez pas peur et à l’instar de la méditation, observez ces symptômes sans les juger. 😉🧘♀️
Symptômes physiques du SPM
(Eh oui, ce ne sont pas “juste des douleurs de règles”)
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Ballonnements inconfortables (merci les œdèmes hormonaux)
Sous l’effet des œstrogènes et de la progestérone, le corps retient davantage l’eau et ralentit la digestion. Résultat : ventre gonflé, sensation de pesanteur, et parfois l’impression de ne plus pouvoir fermer son jean préféré. 🦭
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Seins gonflés, tendus, sensibles
Vos seins deviennent soudainement deux zones ultrasensibles ? Bienvenue dans le club. Cette tension mammaire est causée par la montée de progestérone en phase lutéale. Un simple frottement de soutien-gorge peut vite devenir insupportable. 🌵
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Crampes dans le bas-ventre
Ces douleurs sourdes ou lancinantes apparaissent avant les règles et sont souvent confondues avec des douleurs menstruelles. Elles s’expliquent par des contractions utérines douces, provoquées par la chute hormonale… et peuvent vous clouer au lit. 💥
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Fatigue chronique, parfois écrasante
Même après 9 heures de sommeil, vous vous sentez vidée ? Cette fatigue est due à la chute des œstrogènes et à un métabolisme qui carbure au ralenti. Rien à voir avec de la flemme : c’est hormonal, et c’est réel. 😴
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Troubles du sommeil (difficulté à s’endormir ou réveils fréquents)
Entre endormissement difficile, réveils nocturnes ou sommeil haché, la nuit peut devenir un terrain de lutte. L’activité cérébrale et l’irritabilité étant accrues, le repos est souvent compromis dans cette phase du cycle. 👀
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Troubles digestifs (nausées, constipation, diarrhée)
La progestérone ralentit le transit intestinal… ce qui peut provoquer constipation, gaz, ou au contraire des selles plus molles. Certaines femmes vivent même des nausées ou ballonnements proches de ceux d’un début de grossesse. 💨
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Rétention d’eau, jambes lourdes
Vous sentez vos chevilles gonfler, vos bagues vous serrer, ou vos cuisses devenir cotonneuses ? La rétention d’eau est l’un des effets les plus fréquents du SPM. Pas très glam, mais totalement hormonal. 💧
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Céphalées, migraines ou maux de tête
Les variations brutales du taux d’œstrogènes peuvent déclencher des maux de tête ou des migraines hormonales, notamment chez les femmes sujettes à ce type de douleurs. Ces douleurs peuvent s’installer quelques heures ou plusieurs jours. 🤯
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Hypersensibilité aux bruits, à la lumière, à la chaleur
Quand tout vous irrite, même le “clic clic” de la souris ou la lumière du frigo… c’est souvent lié à une surcharge sensorielle hormonale. Le corps est à fleur de peau, et le seuil de tolérance fond comme neige au soleil. 🔆
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Sensations de vertige ou baisse d’énergie soudaine
Des coups de mou inexplicables ou des sensations de flottement peuvent surgir à n’importe quel moment. Cela s’explique par une baisse de tension ou un léger dérèglement de l’équilibre hormonal et du métabolisme. 🪫
💬 “Le SPM se manifeste souvent par une fatigue extrême inexpliquée, parfois confondue avec un début de grippe. C’est un signal d’alarme du corps.” — Dr Maud Vignon, gynécologue-obstétricienne (Conférence GREFI)
Symptômes émotionnels du SPM
(À ne surtout pas sous-estimer, car ce sont parfois les plus difficiles à vivre)
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Hypersensibilité émotionnelle (larmes au coin de l’œil pour un rien)
Un petit mot de travers, une pub trop mignonne ou la fin d’un épisode de votre série préférée… et ça y est, les larmes montent. Cette hypersensibilité est due à la chute des œstrogènes, qui agit directement sur les neurotransmetteurs liés à l’humeur, comme la sérotonine. 🥲
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Irritabilité ou colère soudaine
Vous explosez parce qu’on a laissé traîner une chaussette ? Pas de panique. L’irritabilité fait partie des symptômes les plus fréquents du SPM, et elle n’a rien d’irrationnel. C’est une tension interne qui cherche une sortie, souvent là où on ne s’y attend pas. 🌶️
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Baisse de moral, état dépressif temporaire
Des pensées grises, une envie de rien, une sensation de lourdeur intérieure... Le SPM peut assombrir même les journées les plus lumineuses. Ce n’est pas “dans votre tête” : c’est une réaction hormonale réelle qui peut affecter profondément l’humeur. 🌧️
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Perte de motivation, découragement
Le moindre projet vous semble une montagne ? La to-do liste reste intacte ? La progestérone peut provoquer un ralentissement global du mental, entraînant un gros “meh” général. Ce n’est pas un manque de volonté, c’est un état transitoire du cerveau cyclique. 📉
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Anxiété, stress amplifié
Les petits stress deviennent énormes, les imprévus deviennent insurmontables. Le système nerveux est à fleur de peau, ce qui rend tout plus intense. C’est comme si le cerveau mettait toutes les alarmes en route, même sans vrai danger. ⚡️
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Troubles de la concentration, “brouillard mental”
Vous lisez trois fois la même ligne sans rien retenir ? Ce qu’on appelle “le brouillard prémenstruel” est une forme légère de confusion mentale. Votre cerveau est comme une page internet qui rame, parce qu’il gère déjà un tsunami intérieur. 😶🌫️
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Sentiment de rejet, d’insécurité
Un message non répondu peut devenir une source d’angoisse existentielle. Vous vous sentez soudainement “pas assez” pour tout le monde. Le SPM amplifie le besoin de validation extérieure et peut accentuer des insécurités que vous gérez très bien le reste du temps. 🫵
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Diminution de l’estime de soi
Votre reflet vous agace, vos compétences vous semblent bancales, et tout ce que vous faites paraît insuffisant ? Ce symptôme, hélas classique du SPM, est un piège émotionnel. Rassurez-vous : tout ça va passer. Votre valeur, elle, est constante. 🪞
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Poussées de culpabilité ou crises existentielles express
“Est-ce que j’ai tout foiré dans ma vie ?”, “Pourquoi j’ai dit ça à ma pote en 2014 ?”... Le SPM peut réveiller des boucles mentales un brin absurdes, et provoquer des mini-crises de sens dignes d’un monologue de théâtre grec. Respirez : vous êtes toujours vous, et tout va bien. 🤯
🎧 On ne dit pas que vous êtes à fleur de peau : c’est le SPM qui tire sur vos cordes sensibles. Vous n’êtes pas en train de perdre pied. C’est votre corps qui vous parle à sa manière. Et si vous avez envie de pleurer pour une chaussette orpheline ou de vous battre contre votre boîte mail, rappelez-vous que vous êtes loin d’être seule.
“Les femmes rapportent des symptômes psychologiques intenses en période prémenstruelle, trop souvent sous-estimés. Il est temps de les reconnaître pour les accompagner.”— Revue Prescrire, SPM et Santé mentale, 2023
Syndrome dysphorique prémenstruel : la version sévère du SPM
Le SPM peut être lourd, inconfortable, épuisant. Mais parfois, il dépasse le simple malaise cyclique. Si vous avez l’impression que vos symptômes émotionnels sont démultipliés, qu’ils deviennent ingérables, ou qu’ils altèrent profondément votre qualité de vie tous les mois, il est possible que vous soyez concernée par une forme plus sévère : le trouble dysphorique prémenstruel (TDPM). 🌶️
Ce n’est ni une fatalité, ni une faiblesse. C’est une réalité médicale, reconnue, qui nécessite une prise en charge adaptée (psycho, hormonale, thérapeutique...). Alors, si vous sentez que le SPM vous coupe de vous-même, vous isole, ou vous submerge psychologiquement : n’attendez pas. Parlez-en à un·e professionnel·le de santé.
En effet, parmi les symptômes du SPM, il existe une forme beaucoup plus intense : le trouble dysphorique prémenstruel (TDPM).
Il affecte environ 5 à 8 % des femmes et peut provoquer :
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Dépression sévère prémenstruelle
Ce n’est pas juste une baisse de moral ou un coup de mou. C’est une vraie tempête interne. Certaines femmes se sentent vidées, sombrent dans un état de tristesse intense, avec une vision négative de tout — d’elles-mêmes, de leur entourage, de leur avenir. Comme si plus rien ne faisait sens. Un état dépressif réel, mais passager. 🌪️
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Pensées noires
Elles peuvent surgir sans prévenir, et s’installer en boucle : idées noires, ruminations morbides, envie de tout plaquer ou même de ne plus exister. Ce ne sont pas « juste » des pensées passagères — elles peuvent être lourdes, inquiétantes, et doivent absolument être prises au sérieux. ⬛
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Perte totale d’estime de soi
C’est ce moment où plus rien ne va : on se sent nulle, moche, incapable, inutile. Même les compliments glissent sans accrocher. On doute de tout, surtout de soi, et ça ronge doucement, mais sûrement la confiance en soi. 👎
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Crises de larmes ou de colère incontrôlables
Le trop-plein devient incontrôlable. On peut fondre en larmes au milieu d’une phrase ou exploser de colère pour une broutille. Ce n’est pas vous qui “exagérez”, c’est votre système hormonal qui explose sous pression. 😩
“Le TDPM est reconnu dans le DSM-5 comme un trouble psychiatrique cyclique à part entière. Il doit être diagnostiqué et accompagné.” — Journal of Clinical Psychiatry, 2021
💡 Si vous ressentez des symptômes de cette intensité chaque mois, parlez-en à un·e professionnel·le de santé (médecin généraliste, gynécologue, sage-femme, sexologue…) sans attendre.
Pourquoi les symptômes varient autant d’une femme à l’autre ?
Parce que chaque corps réagit différemment aux variations hormonales. Certaines vivent le SPM comme une brise légère, d’autres comme une tornade mensuelle. La sévérité des symptômes peut aussi évoluer avec :
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l’âge,
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les grossesses,
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le stress chronique,
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l’alimentation,
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la charge mentale,
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ou encore les antécédents médicaux.
Comment soulager les symptômes du SPM ?
On vous rassure, on en a fini avec le plus désagréable. Si vous vous sentez acculée sous les divers symptômes de ce syndrome cyclique, rappelez-vous qu’il existe des solutions !
Même si on ne l’apprend pas aux jeunes filles : le SPM n’est pas une fatalité et les femmes n’ont pas à subir ceci chaque mois sans rien faire sous prétexte que “c’est ça être une femme”.
Le reste de cet article vous aidera à cartographier l’ensemble des solutions existantes et à votre disposition pour mieux vivre cette période !
Solutions naturelles et préventives
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Magnésium (puissant régulateur d’humeur et antispasmodique)
Le magnésium, c’est un peu le super-héros méconnu du système nerveux. Il aide à réguler l’humeur, à détendre les muscles (coucou les crampes utérines) et à réduire l’anxiété. En cas de SPM, il joue un rôle antispasmodique et apaisant ultra-précieux. Vous pouvez le consommer sous forme de compléments, ou via des aliments comme les amandes, les graines de courge, les légumineuses ou le chocolat noir (yes, c’est une prescription 😌).
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Vitamine B6
La vitamine B6 participe à la production de sérotonine (la fameuse “hormone du bonheur”). Elle est souvent recommandée en cas de SPM car elle permet de réduire la fatigue, les troubles de l’humeur et l’irritabilité. En combo avec le magnésium, elle fait des merveilles pour atténuer les déséquilibres émotionnels liés aux fluctuations hormonales. À retrouver dans les céréales complètes, les œufs, les bananes ou les épinards. 🍌
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Tisanes de framboisier, alchémille, gattilier
Framboisier : reconnu pour tonifier l’utérus et calmer les douleurs de règles, il peut aider en amont à réguler le cycle et apaiser les tensions pelviennes.
Alchémille : plante de la féminité par excellence, elle régule les cycles et soulage les troubles hormonaux liés au SPM.
Gattilier : superstar des plantes hormonales, il agit sur l’hypophyse pour équilibrer œstrogènes et progestérone. Recommandé en cas de SPM avec douleurs mammaires, cycles irréguliers ou sautes d’humeur.
💡 Demandez toujours conseil à un·e pro de santé avant d’utiliser ces plantes en cure.
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Activité physique douce (yoga, natation, marche active)
Pas besoin de courir un marathon : bouger doucement, mais régulièrement aide à réduire l’inflammation, booster les endorphines (hormones du bien-être) et améliorer la circulation sanguine. Le yoga agit notamment sur le stress et la régulation hormonale ; la natation soulage les tensions musculaires ; et une bonne marche rapide en plein air peut vous faire retrouver l’envie de sourire. 🌬️
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Moins de sucre raffiné, plus de légumes verts, protéines et oméga-3
L’alimentation joue un rôle clé dans la gestion du SPM. Réduire le sucre raffiné (qui accentue les pics glycémiques et l’irritabilité) aide à stabiliser l’humeur et l’énergie. À la place, misez sur :
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des légumes verts riches en minéraux et antioxydants,
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des protéines pour soutenir l’équilibre hormonal,
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des oméga-3 (poissons gras, graines de lin ou chia, huiles végétales) pour leurs effets anti-inflammatoires et régulateurs d’humeur.
Pour que votre assiette devienne votre meilleure alliée SPM. 🍽️
“Une routine bien-être adaptée permet de réduire jusqu’à 50 % l’intensité des symptômes liés au syndrome prémenstruel.” — Journal of Women’s Health, 2020
Traitements médicaux
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Antalgiques classiques (paracétamol, ibuprofène)
Quand les douleurs sont là, les antalgiques restent souvent la première ligne de défense.
Le paracétamol agit contre les douleurs légères à modérées (type maux de tête ou crampes abdominales).
L’ibuprofène, anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS), est particulièrement efficace sur les douleurs pelviennes et les tensions musculaires liées au SPM, car il agit directement sur l’inflammation provoquée par les prostaglandines.
💡 Attention à ne pas les utiliser en excès, et toujours respecter les posologies indiquées.
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Contraception hormonale ciblée
Certaines contraceptions hormonales (pilules combinées, anneau vaginal, DIU hormonal…) peuvent réduire, voire supprimer les symptômes du SPM.
Comment ? En stabilisant les fluctuations hormonales naturelles du cycle menstruel (notamment la baisse de progestérone en phase lutéale).
👉 Ces méthodes ne sont pas une solution magique universelle, mais elles peuvent être très bénéfiques si le SPM est fort ou invalidant.
À discuter avec un·e professionnel·le de santé pour adapter la méthode à votre profil hormonal et à vos besoins.
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Antidépresseurs sur prescription pour les cas sévères (TDPM)
Dans les cas de trouble dysphorique prémenstruel (TDPM) – une forme grave du SPM avec retentissement majeur sur la santé mentale – un traitement antidépresseur peut être envisagé.
Il s'agit souvent d'inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), pris uniquement pendant la phase lutéale (les 10-14 jours avant les règles), ou en continu selon les cas.
L’objectif n’est pas de “médicaliser les émotions”, mais de restaurer un équilibre neurochimique pour éviter les crises de larmes incontrôlables, les pensées noires, l’effondrement psychique.
⚠️ Ces types de traitement nécessitent un suivi médical rigoureux et une évaluation personnalisée avec un·e psychiatre, gynécologue ou médecin traitant formé à la santé hormonale.
Nos tips Puissante ?
Notre cure SPM a été pensée pour :
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apaiser les douleurs physiques,
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stabiliser l’humeur,
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améliorer la qualité de vie pendant la phase prémenstruelle.
Formulée avec des plantes, du magnésium et des vitamines, elle est made in France et conçue pour vous accompagner chaque mois en douceur.
FAQ SPM (pour les plus pressées)
Est-ce que tous les mois se ressemblent ?
Non. Les symptômes du SPM peuvent varier selon les cycles, le stress, la fatigue, etc.
Est-ce normal de se sentir “folle” avant ses règles ?
Oui… mais non. C’est normal de ressentir des bouleversements, mais non, vous n’êtes pas “folle”. C’est hormonal. Et c’est légitime.
Le SPM peut-il disparaître ?
Parfois, après une grossesse ou avec l’âge. Sinon, on apprend à le comprendre, à l’anticiper, à l’apprivoiser.
Quand faut-il consulter ?
Dès que les symptômes prennent trop de place dans votre vie, qu’ils deviennent invalidants, ou si vous avez un doute. Ne restez pas seule.
Le SPM, ce ne sont pas “juste les règles qui arrivent” ou un “mauvais caractère”. Ce sont des symptômes bien réels — physiques, émotionnels, hormonaux. Ce n’est ni une faiblesse, ni une fatalité.
Chez Puissante, on croit que chaque phase du cycle peut être vécue avec conscience, douceur et empowerment.
Écoutez-vous. Respectez vos limites. Et si vous en avez marre de subir, sachez qu’on est là. Pour vous informer, vous soutenir… et vous proposer des solutions qui font vraiment la différence.
💌 Prenez soin de vous. Et surtout : ne laissez personne vous dire que “c’est dans votre tête”.